Core Web Vitals – notre guide complet pour tout comprendre

Core Web Vitals guide complet

Dans cet article, nous allons explorer en détail les Core Web Vitals, des indicateurs essentiels pour optimiser la performance de votre site WordPress. Nous vous expliquerons comment ces métriques influencent l’expérience utilisateur et le classement de votre site dans les moteurs de recherche.

Nous aborderons en profondeur les trois Core Web Vitals principaux :

  • LCP (Largest Contentful Paint) : qui mesure la vitesse de chargement du contenu principal de votre page.
  • INP (Interaction to Next Paint) : qui a remplacé le FID et évalue la réactivité de votre site lors des interactions.
  • CLS (Cumulative Layout Shift) : qui se concentre sur la stabilité visuelle de votre site pendant le chargement.

Nous analyserons également d’autres facteurs de performance essentiels comme :

  • TBT (Total Blocking Time),
  • FCP (First Contentful Paint),
  • SI (Speed Index),
  • TTI (Time to Interactive).

Enfin, vous apprendrez à mesurer ces métriques, à les optimiser efficacement sur votre site WordPress, et à utiliser les bons outils pour surveiller vos progrès. Chaque section contiendra des astuces pratiques pour améliorer vos scores, garantir une meilleure expérience utilisateur, et améliorer votre positionnement dans les résultats de recherche.

Qu’est-ce que les Core Web Vitals ?

Les Core Web Vitals sont un ensemble de métriques clés développées par Google pour évaluer la qualité de l’expérience utilisateur sur une page web. Ces métriques se concentrent sur trois aspects essentiels de l’interaction d’un utilisateur avec un site : la vitesse de chargement, la réactivité et la stabilité visuelle. Elles sont devenues un critère déterminant pour le classement des pages dans les résultats de recherche de Google.

Les Core Web Vitals PageSpeed Insights
Les Core Web Vitals PageSpeed Insights

Les Core Web Vitals se composent de trois indicateurs principaux

  • LCP (Largest Contentful Paint) : Cet indicateur mesure le temps qu’il faut pour que l’élément principal d’une page (texte ou image) soit complètement chargé. Un bon score LCP est de 2,5 secondes ou moins. Ce critère reflète la perception de la rapidité de chargement par les utilisateurs.

  • INP (Interaction to Next Paint) : Le INP a remplacé le FID (First Input Delay) comme mesure de la réactivité globale d’une page. Il mesure le délai entre l’interaction d’un utilisateur (clic, touche) et la réaction visible du site à cette action. Une bonne réactivité est essentielle pour offrir une expérience fluide et sans frustration.

  • CLS (Cumulative Layout Shift) : Cet indicateur mesure la stabilité visuelle de la page pendant son chargement. Le CLS surveille les changements inattendus d’éléments sur la page, comme un bouton qui se déplace juste avant d’être cliqué. Un bon score CLS est inférieur à 0,1.

Les autres facteurs de mesures

Les Core Web Vitals sont complétés par d’autres facteurs de mesure importants qui, bien que non inclus directement dans les principaux Core Web Vitals, jouent un rôle essentiel dans l’évaluation de la performance globale d’un site web. Ces métriques fournissent des informations supplémentaires pour affiner l’optimisation et assurer une expérience utilisateur fluide.

  • TBT (Total Blocking Time) : Le TBT mesure la durée totale pendant laquelle un site bloque l’interaction entre le moment où il commence à se charger et celui où il devient totalement interactif. Cela reflète les périodes durant lesquelles des tâches longues empêchent l’utilisateur d’interagir avec la page. Un faible TBT est crucial pour garantir que les utilisateurs ne rencontrent pas de latence frustrante.

  • FCP (First Contentful Paint) : Le FCP mesure le temps écoulé avant que le premier élément visible (comme du texte ou une image) apparaisse à l’écran. C’est un indicateur important qui montre que le site commence à charger son contenu, donnant aux utilisateurs une indication que quelque chose se passe. Un bon score FCP est inférieur à 1,8 seconde.

  • SI (Speed Index) : Le Speed Index évalue à quelle vitesse le contenu visible d’une page devient complètement chargé. Il prend en compte l’affichage progressif du contenu au fur et à mesure du chargement de la page. Plus le score est bas, mieux c’est, car cela signifie que le contenu devient rapidement visible pour l’utilisateur.

  • TTI (Time to Interactive) : Le TTI mesure le moment où la page est entièrement interactive, c’est-à-dire lorsque l’utilisateur peut cliquer, défiler, ou interagir avec les éléments sans rencontrer de retard ou de blocage. Ce facteur est particulièrement crucial pour les sites ayant de nombreuses fonctionnalités interactives.

Différences entre les Core Web Vitals et ces autres facteurs

  • Core Web Vitals (LCP, INP, CLS) : Ces trois indicateurs sont spécifiquement conçus pour évaluer l’expérience utilisateur en se concentrant sur la vitesse de chargement du contenu principal (LCP), la réactivité globale (INP), et la stabilité visuelle (CLS). Ils sont directement intégrés dans l’algorithme de classement de Google.

  • Autres facteurs (TBT, FCP, SI, TTI) : Bien qu’ils influencent aussi l’expérience utilisateur, ces indicateurs fournissent des données plus techniques sur la performance du site. Ils sont utiles pour les développeurs qui souhaitent identifier des opportunités d’optimisation supplémentaires, en particulier lorsque le site semble lent ou non réactif dans certaines conditions.

Ces facteurs, associés aux Core Web Vitals, forment un ensemble complet d’indicateurs permettant d’optimiser au mieux votre site WordPress.

Explorons maintenant chacun de ces facteurs de mesure plus en détail.

Qu’est-ce que le LCP (Largest Contentful Paint) et comment l’optimiser ?

Qu’est-ce que le LCP (Largest Contentful Paint) et comment l’optimiser ?

Le Largest Contentful Paint (LCP) mesure le temps qu’il faut pour qu’un élément de contenu principal d’une page web soit entièrement visible à l’écran. Cet élément peut être une grande image, une vidéo, ou un bloc de texte important. Concrètement, cela signifie que l’indicateur LCP enregistre le délai entre le moment où l’utilisateur clique sur un lien ou charge une page, et le moment où l’élément visuellement le plus important apparaît complètement à l’écran. Cet élément clé est souvent celui qui a le plus grand impact visuel sur l’utilisateur, comme une image en haut de la page ou un grand titre.

Le LCP reflète directement la perception de la vitesse de chargement de la page par l’utilisateur. Un bon score LCP doit être de 2,5 secondes ou moins.

LCP représente environ 25% à 30% de la note globale de performance. Son impact est donc très fort, car il mesure directement l’expérience utilisateur en termes de temps de chargement du contenu principal.

Le Largest Contentful Paint (LCP)

Facteurs qui influencent le LCP

Plusieurs éléments peuvent influencer le temps de chargement du LCP :

  • Taille des fichiers multimédias : Les grandes images ou vidéos non optimisées prennent plus de temps à se charger.
  • Ressources CSS et JavaScript : Les fichiers trop volumineux ou non minifiés ralentissent le rendu de la page.
  • Réponse du serveur : Un serveur lent ou non optimisé augmente le temps nécessaire pour charger les ressources de la page.
  • Chargement des polices de caractères : Des polices web lourdes ou des fichiers CSS mal gérés peuvent retarder l’affichage des éléments.

Comment optimiser le LCP ?

Voici les mesures à prendre pour améliorer le Largest Contentful Paint :

  • Réduire le temps de réponse initial du serveur.
    • Mettre en cache votre site avec un plugin de cache.
    • Optimiser votre base de données.
    • Utiliser la compression GZIP.
    • Choisir un hébergeur de qualité.
  • Optimiser les images.
    • Compresser les images.
    • Bien dimensionner les images.
    • Désactiver le lazyload sur l’image spécifique au LCP.
  • Réduire le travail du thread principal.
    • Minifier et combiner les fichiers CSS.
    • Minifier et combiner les fichiers JavaScript.
    • Reporter l’exécution du JavaScript.
  • Éliminer les ressources qui bloquent le rendu.
    • Différer le chargement des fichiers JavaScript.
    • Supprimer les ressources CSS initialisées.

Qu’est-ce que le Cumulative Layout Shift (CLS) et comment l’optimiser ?

Qu’est-ce que le Cumulative Layout Shift (CLS) et comment l’optimiser ?

Le Cumulative Layout Shift (CLS) est une mesure clé des Core Web Vitals qui évalue la stabilité visuelle d’une page web pendant son chargement. Il mesure la fréquence et l’ampleur des changements inattendus de disposition d’une page, comme lorsque des images ou des publicités se chargent tardivement et provoquent un déplacement du contenu déjà visible.

Un mauvais score de CLS survient lorsque les éléments de la page bougent de façon inattendue, perturbant ainsi l’expérience utilisateur. Par exemple, si un utilisateur est sur le point de cliquer sur un bouton, mais que le bouton se déplace subitement à cause du chargement d’une image, cela crée de la frustration.

Le CLS est mesuré par un score qui doit idéalement être inférieur à 0,1. Un score plus élevé signifie que des changements de mise en page se produisent de manière significative, rendant l’expérience utilisateur moins fluide.

Le Cumulative Layout Shift (CLS) a un impact significatif sur la note globale de performance dans les outils comme Google PageSpeed Insights ou Lighthouse. En règle générale, le CLS représente environ 25% à 30% de la note globale.

Ce pourcentage est élevé, car le CLS mesure la stabilité visuelle d’une page web, un élément clé de l’expérience utilisateur. Lorsque des décalages inattendus surviennent sur une page, cela peut provoquer de la frustration, notamment si l’utilisateur tente d’interagir avec un élément (comme un bouton) qui change de position soudainement.

Cumulative Layout Shift (CLS) illustration

Qu’est-ce qui provoque un mauvais score CLS ?

Plusieurs facteurs peuvent provoquer des décalages inattendus d’éléments sur la page :

  • Images sans dimensions définies : Si une image n’a pas de dimensions spécifiées (largeur et hauteur) dans le code, le navigateur ne sait pas combien d’espace lui réserver, ce qui peut entraîner un déplacement lorsque l’image est finalement chargée.
  • Publicités et iframes : Les publicités et autres contenus externes, comme les iframes, peuvent provoquer des décalages lorsqu’ils apparaissent après le chargement de la page.
  • Contenu chargé dynamiquement : L’ajout de contenu via JavaScript après le chargement initial de la page peut également entraîner des décalages de mise en page.
  • Polices de caractères web : Les changements de polices web personnalisées peuvent faire changer la disposition des textes déjà rendus.

Comment optimiser le CLS ?

Voici quelques stratégies efficaces pour minimiser les décalages de mise en page et améliorer le CLS :

  • Spécifiez les dimensions des images et des vidéos.
    • Assurez-vous que toutes les images et vidéos de votre page ont des dimensions (largeur et hauteur) définies dans le HTML ou le CSS. Cela permet au navigateur de réserver l’espace nécessaire pendant le chargement, évitant ainsi les décalages lorsque ces éléments se chargent.
  • Évitez les insertions dynamiques non contrôlées.
    • Si vous ajoutez du contenu dynamiquement avec JavaScript, assurez-vous de le faire de manière à ne pas perturber la mise en page existante. Insérez le contenu en dessous de la partie visible de la page ou réservez de l’espace à l’avance pour l’accueillir.
  • Réserver de l’espace pour les publicités et les iframes.
    • Si votre page contient des publicités ou des iframes, assurez-vous de réserver un espace fixe pour ces éléments dans la mise en page. Cela permet d’éviter que ces contenus déplacent d’autres éléments lorsqu’ils apparaissent.
  • Utilisez des animations et transitions de manière appropriée.
    • Les animations et transitions qui provoquent des changements soudains de disposition peuvent également contribuer à un mauvais score de CLS. Utilisez des animations qui modifient les propriétés opacité et transform, plutôt que celles qui affectent la position ou la taille des éléments.

Qu’est-ce que l’Interaction to Next Paint (INP) et comment l’optimiser ?

Qu’est-ce que l’Interaction to Next Paint (INP) et comment l’optimiser ?

L’Interaction to Next Paint (INP) est une nouvelle métrique introduite pour remplacer le First Input Delay (FID) dans l’évaluation de la réactivité d’un site. Alors que le FID ne mesurait que le premier délai d’interaction, l’INP évalue l’ensemble de l’expérience utilisateur en matière de réactivité, en mesurant le délai total entre une interaction (comme un clic ou un défilement) et le moment où l’interface réagit visiblement.

L’INP est donc une mesure plus complète et précise que le FID, car il prend en compte toutes les interactions sur la durée de la session de l’utilisateur, et non seulement la première. Cela donne une meilleure idée de la fluidité globale de la page.

Un bon score d’INP doit être inférieur à 200 millisecondes pour offrir une expérience réactive et sans frustration. Au-delà de ce seuil, les utilisateurs peuvent ressentir un décalage gênant entre leurs actions et la réponse de la page.

L’Interaction to Next Paint (INP) a un impact significatif sur la note globale de performance dans les outils comme Google PageSpeed Insights ou Lighthouse. Comme il remplace le First Input Delay (FID), qui était l’une des trois métriques principales des Core Web Vitals, l’INP joue un rôle crucial dans l’évaluation de la réactivité d’un site.

En général, l’INP représente environ 25 à 30% de la note globale de performance. Cela le place au même niveau que d’autres métriques clés comme le Largest Contentful Paint (LCP) et le Cumulative Layout Shift (CLS). Un mauvais score d’INP peut donc sérieusement affecter la perception de réactivité d’un site et son classement global en termes de performance.

L’importance de l’INP découle de son rôle crucial dans la réactivité globale d’une page web. S’il y a un décalage entre l’interaction de l’utilisateur et la réponse du site, cela affecte directement l’expérience utilisateur et peut entraîner un taux de rebond plus élevé.

Qu’est-ce que l’Interaction to Next Paint (INP) et comment l’optimiser ?

Facteurs qui influencent le INP

  • Tâches JavaScript longues : Des scripts JavaScript lourds ou mal optimisés peuvent bloquer l’interactivité, augmentant ainsi l’INP.
  • Surcharge du thread principal : Si le thread principal est surchargé par des tâches lourdes (calculs ou traitement de données), cela ralentit la réactivité.
  • Rendu de l’interface utilisateur : Des transitions d’interface complexes ou des animations non optimisées peuvent retarder l’affichage visuel de la réponse.

Comment optimiser le INP ?

Pour améliorer l’INP, il est essentiel d’optimiser le temps de réponse global du site aux interactions de l’utilisateur. Voici quelques stratégies pour y parvenir :

  • Réduire les tâches JavaScript longues.
    • Les longues tâches JavaScript peuvent retarder la réponse aux interactions. Divisez ces tâches en segments plus courts pour permettre au navigateur de traiter les interactions rapidement.
  • Optimiser l’utilisation du thread principal .
    • Assurez-vous que le thread principal n’est pas surchargé par des processus lourds qui pourraient retarder les interactions. Vous pouvez décharger certaines tâches vers des Web Workers pour répartir le traitement.
  • Différez les scripts JavaScrip.
    • Différez le chargement des scripts JavaScript non essentiels jusqu’à ce que l’utilisateur en ait besoin, afin d’alléger la charge initiale du thread principal.
  • Optimiser le rendu et les animations.
    • Utilisez des animations et des transitions CSS plutôt que JavaScript, qui sont généralement plus rapides. 

Qu’est-ce que le First Contentful Paint (FCP) et comment l’optimiser ?

Qu’est-ce que le First Contentful Paint (FCP) et comment l’optimiser ?

Le First Contentful Paint (FCP) est une métrique qui mesure le moment où le premier élément de contenu visible apparaît à l’écran après le début du chargement de la page. Ce premier élément peut être du texte, une image, ou tout autre contenu qui est directement perçu par l’utilisateur comme un signe que la page commence à se charger. Le FCP joue un rôle important dans l’expérience utilisateur, car il donne une indication visuelle rapide que quelque chose se passe, réduisant ainsi la perception d’attente.

Un bon score de FCP est généralement considéré comme étant inférieur à 1,8 seconde. Un score plus élevé peut donner l’impression que la page est lente, même si d’autres éléments se chargent rapidement par la suite.

Le First Contentful Paint (FCP) a un impact relativement modéré dans la note globale de performance donnée par des outils comme Google PageSpeed Insights ou Lighthouse. En général, le FCP représente environ 10 à 15% de la note globale.

Cela signifie que bien qu’il soit important, il est moins prioritaire que des métriques comme le Largest Contentful Paint (LCP), qui a un impact plus direct sur la perception de la vitesse de chargement de vos pages. Cependant, un bon score FCP reste important, car il permet de donner rapidement une indication visuelle que la page commence à se charger, ce qui est essentiel pour maintenir l’attention de ceux qui viennent visiter votre site.

Le First Contentful Paint (FCP)

Ne pas confondre LCP et FCP

Le LCP (Largest Contentful Paint) et le FCP (First Contentful Paint) sont deux métriques distinctes, bien qu’elles concernent toutes deux le temps de chargement des éléments sur une page web. Il est important de ne pas les confondre, car chacune mesure un aspect différent de la performance d’un site.

  • Le FCP (First Contentful Paint) mesure le moment où le premier élément visible apparaît à l’écran. Cet élément peut être un simple morceau de texte, une image, ou une autre ressource visible. C’est la première indication pour l’utilisateur que la page commence à se charger. Le FCP se concentre donc sur la première indication visuelle du chargement.

  • Le LCP (Largest Contentful Paint), en revanche, mesure le moment où le plus grand élément de contenu visible de la page (par exemple, une image de grande taille ou un bloc de texte important) est entièrement rendu à l’écran. Le LCP est donc une mesure plus globale et se concentre sur le temps nécessaire pour charger l’élément le plus important visuellement, ce qui affecte directement la perception de la rapidité globale du site.

En résumé, le FCP indique quand un premier élément de contenu est visible, tandis que le LCP mesure quand le contenu le plus significatif (souvent situé au-dessus de la ligne de flottaison) est chargé. Une bonne performance sur ces deux métriques est cruciale pour offrir une expérience utilisateur rapide et fluide.

Facteurs qui influencent le FCP

Plusieurs éléments peuvent influencer le temps de chargement du LCP :

  • Taille des fichiers multimédias : Les grandes images ou vidéos non optimisées prennent plus de temps à se charger.
  • Ressources CSS et JavaScript : Les fichiers trop volumineux ou non minifiés ralentissent le rendu de la page.
  • Réponse du serveur : Un serveur lent ou non optimisé augmente le temps nécessaire pour charger les ressources de la page.
  • Chargement des polices de caractères : Des polices web lourdes ou des fichiers CSS mal gérés peuvent retarder l’affichage des éléments.

Comment optimiser le FCP ?

Pour améliorer le First Contentful Paint, plusieurs optimisations peuvent être mises en place :

  • Optimiser le temps de réponse du serveur.
    • Utilisez un hébergement rapide et un Content Delivery Network (CDN) pour accélérer le temps de réponse des serveurs, ce qui permet de réduire le délai avant l’affichage des premiers éléments.
  • Minimiser les fichiers CSS et JavaScript.
    • Réduisez la taille des fichiers CSS et JavaScript en supprimant les caractères inutiles et en minifiant ces fichiers. Vous pouvez également différer le chargement de certains scripts non critiques pour améliorer la vitesse d’affichage des premiers éléments.
  • Activer le lazy loading des images.
    • Le lazy loading permet de charger les images seulement lorsqu’elles apparaissent dans le champ de vision de l’utilisateur. Cela améliore l’affichage initial de la page en réduisant le poids des éléments chargés au début.
  • Prioriser les ressources critiques.
    • Chargez en priorité les éléments critiques tels que le CSS et les images visibles en haut de la page pour qu’ils s’affichent plus rapidement. Utilisez la technique du « préchargement » pour indiquer au navigateur quels fichiers doivent être chargés en premier.

Qu’est-ce que le Time to First Byte (TTFB) et comment l’optimiser ?

Qu’est-ce que le Time to First Byte (TTFB) et comment l’optimiser ?

Le Time to First Byte (TTFB) est une mesure qui évalue la durée nécessaire pour que le navigateur reçoive le premier octet de réponse du serveur après avoir envoyé une requête. En d’autres termes, il s’agit du temps que prend un serveur à répondre après que l’utilisateur a demandé à charger une page web. Le TTFB est crucial car il affecte directement la rapidité de chargement initiale de votre site. Plus ce temps est long, plus la page semblera lente à se charger.

Un bon TTFB se situe généralement en dessous de 800 millisecondes. Un TTFB supérieur à ce seuil peut ralentir le reste des performances de la page, car il retarde le chargement des ressources suivantes, comme le texte, les images et les scripts.

Facteurs qui influencent le TTFB

Plusieurs facteurs peuvent allonger le Time to First Byte :

  • Performance du serveur : Un serveur sous-dimensionné ou surchargé peut ralentir le temps de réponse initial.
  • Distance entre le serveur et l’utilisateur : Plus un utilisateur est éloigné géographiquement du serveur, plus le TTFB sera élevé à cause de la latence réseau.
  • Trafic important : Des pics de trafic peuvent surcharger le serveur et augmenter le temps de réponse.
  • Mise en cache inefficace : Si la mise en cache n’est pas configurée ou optimisée correctement, chaque requête doit être traitée individuellement par le serveur, augmentant ainsi le temps de réponse.
  • Complexité des requêtes : Si la page demande de nombreuses ressources, ou si le serveur doit effectuer des traitements complexes (comme des requêtes SQL ou des calculs dynamiques), le TTFB peut augmenter.

Comment optimiser le TTFB ?

Améliorer le Time to First Byte est essentiel pour garantir que votre page commence à se charger rapidement. Voici quelques stratégies pour optimiser le TTFB :

  • Choisir un serveur performant.
    •  Utiliser un hébergement web de qualité est crucial pour réduire le TTFB. Les serveurs surchargés ou mal configurés peuvent sérieusement ralentir le temps de réponse. Il peut être utile d’envisager une mise à niveau vers un hébergement plus performant ou un serveur dédié pour les sites à fort trafic.
  • Activer la mise en cache côté serveur.
    • Configurez des systèmes de mise en cache comme Varnish ou NGINX pour stocker les pages fréquemment demandées. Cela permet d’envoyer une réponse rapide sans avoir à traiter chaque requête de manière dynamique, ce qui réduit considérablement le TTFB.
  • Utiliser un CDN (Content Delivery Network).
    • Un CDN stocke des copies de votre site sur des serveurs situés dans différents endroits géographiques. Cela permet aux utilisateurs de télécharger les ressources à partir du serveur le plus proche d’eux, réduisant ainsi la latence et améliorant le TTFB.
  • Réduire le nombre de redirections.
    • Chaque redirection crée une requête supplémentaire vers le serveur, ce qui allonge le TTFB. Minimisez les redirections inutiles pour optimiser le temps de réponse.

Qu’est-ce que le Total Blocking Time (TBT) et comment l’optimiser ?

Qu’est-ce que le Total Blocking Time (TBT) et comment l’optimiser ?

Le Total Blocking Time (TBT) est une métrique qui mesure la réactivité d’un site web pendant sa phase de chargement. Il évalue le temps total, en millisecondes, durant lequel une page est bloquée et ne répond pas aux interactions utilisateur (clics, frappes de clavier, défilements) entre le First Contentful Paint (FCP) et le Time to Interactive (TTI).

Le TBT est important car il reflète la durée pendant laquelle le thread principal du navigateur est occupé à exécuter des tâches, empêchant ainsi le site de répondre rapidement aux interactions utilisateur. Un TBT élevé peut entraîner une expérience frustrante, car même si certains éléments de la page sont visibles, le site ne sera pas interactif pendant cette période.

Un bon score de TBT est inférieur à 300 millisecondes. Au-delà de ce seuil, les utilisateurs risquent de ressentir des décalages dans la réactivité du site.

Ne pas confondre TBT et TTFB

Il est important de ne pas confondre le Total Blocking Time (TBT) et le Time to First Byte (TTFB), car bien qu’ils mesurent tous deux des aspects de la performance d’un site web, ils se concentrent sur des phases très différentes du processus de chargement d’une page.

  • TTFB (Time to First Byte) mesure le temps qu’il faut au serveur pour envoyer le premier octet de réponse au navigateur après qu’une requête a été envoyée. Il évalue donc la rapidité de réponse du serveur et concerne principalement la performance du serveur et la connexion réseau entre le serveur et le navigateur.

  • TBT (Total Blocking Time), quant à lui, mesure la réactivité du site web pendant la phase de chargement, c’est-à-dire le temps pendant lequel le thread principal du navigateur est bloqué par des tâches longues, empêchant le site de répondre aux interactions de l’utilisateur. Le TBT se concentre sur l’exécution de scripts JavaScript et la charge du thread principal, donc il est directement lié à la réactivité et l’expérience utilisateur.

En résumé, le TTFB concerne la performance du serveur tandis que le TBT évalue la réactivité du site web pendant le chargement. Optimiser l’un et l’autre nécessite des approches différentes.

Qu’est-ce qui cause un TBT élevé ?

Le Total Blocking Time est directement influencé par les tâches JavaScript ou les scripts tiers qui bloquent le thread principal du navigateur. Les principaux facteurs qui peuvent provoquer un TBT élevé sont :

  • Tâches JavaScript longues : Lorsque le navigateur exécute des tâches JavaScript complexes qui durent plus de 50 millisecondes, il peut être incapable de traiter les interactions utilisateur.
  • Scripts tiers : Des scripts externes, comme des publicités ou des outils de suivi, peuvent alourdir la page et bloquer le chargement des autres éléments.
  • CSS ou JavaScript non optimisés : Un code mal optimisé ou des fichiers CSS/JavaScript volumineux peuvent également ralentir le thread principal et augmenter le TBT.

Comment optimiser le TBT?

Pour réduire le Total Blocking Time et rendre votre site plus réactif pendant le chargement, voici quelques stratégies efficaces :

  • Diviser les tâches JavaScript longues.
    • Les tâches longues peuvent être découpées en petites tâches plus courtes afin que le thread principal ne soit pas bloqué pendant longtemps. En divisant les scripts JavaScript volumineux, le navigateur peut traiter les interactions utilisateur plus rapidement.
  • Différer le chargement des scripts non critiques.
    • Utilisez l’attribut async ou defer pour différer le chargement des fichiers JavaScript qui ne sont pas nécessaires au rendu initial de la page. Cela permet d’accélérer la phase de chargement critique et de réduire le blocage du thread principal.
  • Précharger les ressources critiques.
    • Utilisez le préchargement pour charger en priorité les ressources critiques comme les fichiers CSS et JavaScript essentiels au rendu de la page. Cela permet d’améliorer le temps de réponse initial du site.
  • Optimiser les fichiers JavaScript et CSS).
    • Minifiez et compressez les fichiers JavaScript et CSS pour réduire leur taille. Cela permet de les charger plus rapidement et de libérer le thread principal plus tôt.
  • Limiter les scripts tiers.
    • Réduisez le nombre de scripts tiers (comme les publicités, les outils de suivi, ou les widgets externes) qui peuvent allonger le temps de blocage. Ces scripts peuvent être chargés de manière asynchrone ou différée pour ne pas retarder la réactivité de la page.
  • Utiliser un hébergement de qualité.
    • Un serveur rapide et bien configuré contribue également à améliorer le TBT, car il aide à traiter plus rapidement les requêtes et à réduire les temps de blocage lors de l’exécution des scripts.

Qu’est-ce que le Speed Index (SI) et comment l’optimiser ?

Qu’est-ce que le Speed Index (SI) et comment l’optimiser ?

Le Speed Index (SI) est une métrique qui mesure la rapidité avec laquelle le contenu visible d’une page web se charge pour l’utilisateur. Il évalue la vitesse à laquelle les éléments de la page deviennent visibles et donne une note basée sur la proportion de contenu affiché par rapport au temps écoulé. En d’autres termes, le Speed Index quantifie l’expérience de chargement visuel de l’utilisateur, en observant la rapidité avec laquelle la page devient utilisable et compréhensible visuellement.

Un bon Speed Index se situe généralement en dessous de 4 000 millisecondes. Plus le score est bas, plus le contenu visible s’affiche rapidement, offrant ainsi une meilleure expérience utilisateur.

Qu’est-ce qui impacte le Speed Index ?

Plusieurs facteurs influencent le Speed Index, notamment :

  • Taille et nombre de ressources : Plus les ressources (images, CSS, JavaScript) sont volumineuses, plus elles prennent du temps à se charger, ce qui ralentit l’affichage du contenu visible.
  • Priorisation des ressources : Si les ressources critiques (comme le CSS nécessaire à l’affichage du contenu initial) ne sont pas priorisées, cela peut retarder le rendu de la page.
  • Scripts bloquants : Des fichiers JavaScript ou CSS qui empêchent le navigateur de continuer à afficher le contenu visible peuvent allonger le Speed Index.
  • Animations et transitions : Les animations lourdes ou mal optimisées peuvent ralentir le rendu des éléments visuels.

Comment optimiser le Speed Index ?

Pour améliorer le Speed Index, il est essentiel d’accélérer le rendu des éléments visibles de la page.

  • Prioriser les ressources critiques.
    • Chargez en priorité les fichiers CSS et JavaScript critiques qui sont essentiels pour afficher le contenu initial de la page. Vous pouvez utiliser des techniques de préchargement pour garantir que ces ressources sont chargées en premier.
  • Minifier les fichiers CSS et JavaScript.
    • Réduisez la taille des fichiers CSS et JavaScript en les minifiant et en supprimant tout code inutile. Cela réduit le temps de chargement des fichiers et permet au contenu visible de s’afficher plus rapidement.
  • Limiter les animations complexes.
    • Si votre page contient des animations ou transitions complexes, assurez-vous qu’elles n’entravent pas le rendu des éléments visuels importants. Utilisez des animations CSS matérielles accélérées (GPU) pour réduire la charge du processeur et améliorer la vitesse de rendu.

  • LUtiliser un CDN (Content Delivery Network).
    • Un CDN aide à distribuer les ressources à partir de serveurs situés plus près des utilisateurs. Cela réduit la latence et permet de charger les fichiers critiques plus rapidement, améliorant ainsi le Speed Index.

  • Optimiser les images .
    • Utilisez des formats d’image modernes comme WebP ou AVIF, compressez les images, et activez le lazy loading pour ne charger les images que lorsqu’elles deviennent visibles dans le champ de vision de l’utilisateur.
  • Différer le chargement des scripts non critiques .
    • Utilisez l’attribut async ou defer pour différer le chargement des scripts JavaScript qui ne sont pas nécessaires à l’affichage initial de la page. Cela permet d’accélérer le rendu du contenu visible.
  • Réduire le nombre de requêtes HTTP.
    • Limitez le nombre de requêtes HTTP en combinant les fichiers CSS et JavaScript, en utilisant des sprites pour les images, et en compressant les ressources pour réduire le temps de chargement global.

Comment mesurer les Core Web Vitals (Signaux Web Essentiels) ?

Mesurer les Core Web Vitals est essentiel pour évaluer la performance de votre site WordPress et identifier les points à améliorer pour offrir une meilleure expérience utilisateur. 

Google PageSpeed Insights (PSI) est un outil d’analyse gratuit développé par Google pour évaluer la performance d’une page web sur mobile et desktop. Il se base sur deux types de données : des données réelles issues des utilisateurs (Field Data) et des données simulées en laboratoire (Lab Data). PSI fournit des rapports complets sur les Core Web Vitals et les autres métriques de performance, en donnant des recommandations précises pour améliorer ces mesures.

Cet outil est crucial pour les propriétaires de sites WordPress et les développeurs, car il permet d’optimiser la vitesse et la réactivité d’un site, tout en améliorant son classement dans les résultats de recherche.

Les différents audits fournis par Google PageSpeed Insights

Google PageSpeed Insights effectue plusieurs types d’audits pour analyser la performance de votre site sur différents aspects, avec des recommandations spécifiques à chaque domaine :

  • Performance :
      • Cet audit est le cœur de PSI, évaluant la vitesse de chargement de la page et la réactivité, principalement à travers les Core Web Vitals. Il génère une note de performance globale basée sur plusieurs métriques, notamment le LCP, le INP, et le CLS.
  • Accessibilité :
      • L’audit d’accessibilité vérifie si la page respecte les bonnes pratiques pour rendre le site utilisable par tous, y compris les personnes ayant des handicaps. Cet audit évalue des éléments comme les descriptions d’images (attribut alt), le contraste de couleurs, et la structuration des titres (balises h1, h2, etc.).
  • SEO :
      • Cet audit se concentre sur les meilleures pratiques SEO techniques, comme la présence de balises meta, l’utilisation d’un fichier robots.txt, et la compatibilité mobile. Il identifie les éléments qui peuvent nuire à la visibilité du site dans les moteurs de recherche.
  • Bonnes pratiques :
      • L’audit des bonnes pratiques vérifie des aspects liés à la sécurité et aux bonnes pratiques web. Par exemple, il vérifie si le site utilise HTTPS, si les images et autres ressources sont servies via des connexions sécurisées, et si les fichiers JavaScript externes sont correctement gérés.
Comment mesurer les Core Web Vitals (Signaux Web Essentiels) ?
Comment mesurer les Core Web Vitals (Signaux Web Essentiels) ?

Section Diagnostics

La section Diagnostics fournit des informations techniques supplémentaires sur les éléments qui ne sont pas optimaux, sans toutefois affecter directement la note finale. Ces recommandations concernent des aspects plus avancés du développement web et visent à améliorer encore plus la performance globale du site. Voici quelques diagnostics courants :

  • Eviter les tâches longues :
      • Ce diagnostic met en lumière les tâches JavaScript qui bloquent le thread principal pendant une longue période. Réduire la durée des tâches permet d’améliorer la réactivité du site.
  • Minimiser le travail en arrière-plan :
      • Cette recommandation suggère de minimiser l’exécution des scripts en arrière-plan afin que les ressources ne soient pas monopolisées par des tâches non essentielles.
  • Servir des images au format moderne :
      • Google recommande de servir les images au format WebP ou AVIF, car elles offrent une compression plus efficace et accélèrent le chargement des pages.
  • Eliminer les ressources CSS/JavaScript inutilisées :
      • Ce diagnostic identifie les fichiers CSS ou JavaScript qui ne sont pas nécessaires pour le rendu initial de la page et suggère de les supprimer ou de différer leur chargement.
Comment mesurer les Core Web Vitals (Signaux Web Essentiels) ? Eviter les tâches longues : Ce diagnostic met en lumière les tâches JavaScript qui bloquent le thread principal pendant une longue période. Réduire la durée des tâches permet d'améliorer la réactivité du site. Minimiser le travail en arrière-plan : Cette recommandation suggère de minimiser l'exécution des scripts en arrière-plan afin que les ressources ne soient pas monopolisées par des tâches non essentielles. Servir des images au format moderne : Google recommande de servir les images au format WebP ou AVIF, car elles offrent une compression plus efficace et accélèrent le chargement des pages. Eliminer les ressources CSS/JavaScript inutilisées : Ce diagnostic identifie les fichiers CSS ou JavaScript qui ne sont pas nécessaires pour le rendu initial de la page et suggère de les supprimer ou de différer leur chargement.

Field Data (Données de terrain) et Lab Data (Données de laboratoire)

Les Field Data (données de terrain) sont des données réelles collectées par Google Chrome User Experience Report (CrUX). Ces données reflètent la manière dont les utilisateurs réels interagissent avec une page sur des sessions passées. Elles sont basées sur l’expérience des utilisateurs réels, fournissant une image précise de la performance dans des conditions réelles, comme les réseaux mobiles lents ou les appareils moins performants. Les Field Data incluent :

  • LCP
  • INP
  • CLS

Les Field Data sont particulièrement utiles pour suivre les performances à long terme et comprendre comment les utilisateurs réels perçoivent votre site.

Les Lab Data (données de laboratoire) sont des résultats obtenus à partir de simulations effectuées par l’outil Google Lighthouse intégré à PageSpeed Insights. Ces tests sont réalisés dans un environnement contrôlé et consistent à charger une page dans un navigateur simulé avec des conditions réseau et appareil prédéfinis (comme une connexion 3G lente). Les Lab Data permettent d’identifier des problèmes de performance spécifiques avant que les utilisateurs ne les rencontrent. Ils incluent des métriques telles que :

  • FCP
  • TTFB
  • Speed Index
  • TBT

Ces données sont particulièrement utiles pour tester de nouveaux changements ou des pages qui n’ont pas encore reçu suffisamment de visites réelles pour générer des Field Data.

mesurer les core web vitals d'une page

Field Data 

mesurer les core web vitals d'une page

Lab Data 

Comment tester un page avec Google PageSpeed Insights

  • Accédez à Google PageSpeed Insights
  • Entrez l’URL de la page à tester
      • Dans le champ dédié, entrez l’URL complète de la page que vous souhaitez analyser. Cela peut être la page d’accueil de votre site ou une page spécifique dont vous souhaitez évaluer la performance.
  • Cliquez sur le bouton Analyser pour lancer le test et attendez que l’analyse soit effectuée
      • L’outil va collecter des données et effectuer une série de tests sur la page, en analysant à la fois la version mobile et desktop. Le processus prend généralement quelques secondes.
  • Interpréter les résultats
      • PSI génère un score de performance global basé sur un ensemble de métriques importantes. Ce score est compris entre 0 et 100, avec les interprétations suivantes :
        • 90-100 : Bon, la page est bien optimisée.
        • 50-89 : Moyen, des améliorations sont possibles.
        • 0-49 : Mauvais, de nombreuses optimisations sont nécessaires.
  • Si le site ne dispose pas de suffisamment de données réelles, PSI affichera uniquement les Lab Data, qui sont des résultats basés sur des tests simulés. Ces données incluent :
      • First Contentful Paint (FCP)
      • Time to Interactive (TTI)
      • Speed Index
      • Total Blocking Time (TBT)
      • Cumulative Layout Shift (CLS)
Comment mesurer les Core Web Vitals (Signaux Web Essentiels) ?
Comment mesurer les Core Web Vitals (Signaux Web Essentiels) ?

Lighthouse (Chrome DevTools)

Chrome DevTools est un autre outil phare de Google pour analyser les Core Web Vitals et d’autres aspects des performances web. Basé sur Lighthouse, il fournit des Lab Data (données de laboratoire) similaires à celles de Google PageSpeed Insights, tout en offrant des fonctionnalités supplémentaires comme le test de Progressive Web Apps (PWA). Cet audit supplémentaire est particulièrement utile pour les sites qui utilisent cette technologie, car il permet de vérifier si une page est consultable hors ligne et conforme aux bonnes pratiques pour les PWA.

Le test PWA ne concerne que les sites qui implémentent cette technologie et vérifie des aspects comme :

  • La capacité à être accessible hors ligne.
  • L’utilisation de manifestes web pour la gestion des ressources.
  • La performance et la sécurité des applications web progressives.

Pour obtenir des résultats aussi précis que possible, il est recommandé d’effectuer les tests en mode de navigation privée afin d’éviter que les extensions du navigateur ou les paramètres de cache n’affectent les résultats.

Procédure pour utiliser Lighthouse via Chrome DevTools :

  • Ouvrir Chrome DevTools :
      • Cliquez sur les trois petits points en haut à droite de votre navigateur Chrome.
  • Sélectionnez Plus d’outils.
  • Cliquez sur Outils de développement.
  • Accéder à Lighthouse :
      • Dans les outils de développement, sélectionnez l’onglet Lighthouse (si cet onglet n’est pas visible, cliquez sur l’icône « >> » pour le trouver dans la liste des onglets supplémentaires).
  • Choisir les paramètres de test :
      • Vous pouvez choisir d’analyser la page pour les versions Mobile ou Desktop en cochant l’une des deux options. Cela vous permet de tester la performance du site en fonction des appareils cibles.
  • Analyser le chargement de la page :
      • Cliquez sur le bouton Analyser le chargement de la page pour lancer l’analyse complète de votre site. Lighthouse effectuera une série de tests sur des métriques clés, LCP, INP, CLS, FCP, TBT, PWA (si applicable).
  • Consulter et interpréter les résultats :
      • Une fois l’analyse terminée, Lighthouse génère un rapport complet similaire à Google PageSpeed Insights, mais avec la possibilité supplémentaire de vérifier la conformité PWA. Vous obtiendrez des recommandations pour améliorer les performances, l’accessibilité, le SEO, et les bonnes pratiques de sécurité.
Comment mesurer les Core Web Vitals (Signaux Web Essentiels) ?
Comment mesurer les Core Web Vitals (Signaux Web Essentiels) ?

La Search console permet d’avoir une vue d’ensemble des Core Web Vitals (Signaux Web essentiels en français) et d’identifier rapidement les pages qui ont besoin d’être amélioré. Les résultats sont mesurés avec les données basées sur les utilisateurs réels (Field Data). C’est pourquoi il est possible lorsque votre site vient juste d’être créé qu’aucun rapport n’apparaisse, auquel cas, vous devez analyser vos pages via PageSpeed Insight.

Pour ouvrir le rapport, allez dans Search console et cliquez sur Signaux Web Essentiels (1). Sélectionnez ensuite le rapport que vous souhaitez consulter mobile ou ordinateur (2).

Le rapport analyse les URL (pages) à la fois pour les écrans mobiles et les ordinateurs, Il les classe ensuite en 3 catégories.

  • URL rapides en vert.
  • URL à améliorer en orange.
  • URL lente en rouge.
mesurer les core web vitals d'une page
  • Cliquez ensuite sur la catégorie d’URL que vous souhaitez améliorer (3).
  • Sélectionner un des indicateurs qui posent un problème pour accéder au groupe d’URL concernées (4).
  • Dans notre exemple, nous allons sélectionner le problème de Cumulative Layout Shift (CLS) qui concerne 45 pages.
mesurer les core web vitals d'une page
  • La fenêtre suivante, affiche un graphique montrant le nombre de pages qui ont eu un problème CLS ces dernières semaines.
  • En dessous, vous trouvez le groupe d’URL, cliquez dessus pour afficher la liste complète (5).
mesurer les core web vitals d'une page

Vous avez maintenant la liste de toutes les pages qui ont un problème de Cumulative Layout Shift (CLS).

En cliquant sur l’un d’entre elle (6), vous pouvez la faire analyser par Google PageSpeed Insights (7) et obtenir les recommandations d’optimisations.

mesurer les core web vitals d'une page

Plugin pour améliorer les Core Web Vitals : WP Rocket

WP Rocket est l’un des plugins les plus puissants et populaires pour optimiser les performances de votre site WordPress, y compris l’amélioration des Core Web Vitals. Facile à utiliser et destiné aussi bien aux débutants qu’aux utilisateurs avancés, WP Rocket propose une large gamme de fonctionnalités pour accélérer votre site, améliorer sa réactivité, et optimiser le chargement des pages.

  • Optimisation du Largest Contentful Paint (LCP) :

    • WP Rocket aide à réduire le temps nécessaire pour que le contenu principal de la page devienne visible (LCP) en mettant en œuvre des techniques avancées comme :
      • Mise en cache des pages : Stocke une version statique de vos pages pour réduire le temps de génération à chaque requête utilisateur.
      • Préchargement du cache : Génère automatiquement une version mise en cache des pages dès qu’elles sont publiées ou modifiées, garantissant des temps de réponse plus rapides.
      • Optimisation des fichiers CSS et JavaScript : Minification et combinaison des fichiers CSS/JS, ce qui réduit leur taille et accélère le rendu des pages.
  • Amélioration du Cumulative Layout Shift (CLS) :

    • Pour garantir une stabilité visuelle de votre site et éviter que les éléments de la page ne se déplacent de manière inattendue (mauvais score CLS), WP Rocket :
      • Optimise le chargement des polices : Le plugin permet de charger les polices de manière asynchrone, ce qui évite les changements de mise en page inattendus pendant le chargement.
      • Gestion des dimensions des images : WP Rocket permet d’activer des balises pour les dimensions des images, ce qui évite les décalages pendant leur chargement.
  • Réduction du Total Blocking Time (TBT) :

    • Le TBT mesure combien de temps le thread principal est bloqué par des tâches longues, ce qui empêche les interactions utilisateur. WP Rocket optimise cette métrique en :
      • Différant le chargement des JavaScript non critiques : Les scripts non essentiels peuvent être différés, permettant au contenu principal de se charger plus rapidement.
      • Chargement différé des fichiers JavaScript : Vous pouvez choisir de ne charger les fichiers JavaScript qu’après le premier rendu de la page, ce qui accélère l’affichage initial.
  • Lazy loading des images pour améliorer le First Contentful Paint (FCP) :

    • WP Rocket intègre une fonctionnalité de lazy loading, qui retarde le chargement des images jusqu’à ce qu’elles soient visibles à l’écran. Cela permet d’améliorer le FCP, car le navigateur se concentre d’abord sur le contenu principal visible avant de charger les ressources plus bas dans la page.
  • Intégration avec les CDN pour un Speed Index amélioré :

    • WP Rocket vous permet d’intégrer facilement un Content Delivery Network (CDN) pour servir les ressources statiques comme les images, CSS, et JavaScript à partir de serveurs situés dans le monde entier. Cela réduit la latence et améliore le Speed Index en livrant le contenu plus rapidement à l’utilisateur, quelle que soit sa localisation.

Fonctionnalités supplémentaires de WP Rocket

  • Mise en cache du navigateur : Enregistre des ressources statiques dans le navigateur des utilisateurs afin de les réutiliser lors de visites ultérieures sans avoir besoin de les re-télécharger, améliorant ainsi le temps de chargement.
  • Préchargement des liens : WP Rocket précharge les pages dès qu’un utilisateur passe la souris sur un lien, ce qui réduit le temps de chargement lorsqu’il clique dessus.
  • Optimisation de la base de données : Le plugin propose un nettoyage automatique de la base de données pour réduire son poids et améliorer les performances globales.

WP Rocket
Le numéro 1 actuel des plugins de cache WordPress

L’impact des Core Web Vitals sur le SEO et l’expérience utilisateur

Les Core Web Vitals jouent un rôle crucial dans l’amélioration à la fois du SEO (Search Engine Optimization) et de l’expérience utilisateur. Depuis leur intégration dans les critères de classement de Google en 2021, ces métriques sont devenues un facteur clé pour déterminer la visibilité d’un site web dans les résultats de recherche. Elles mesurent la performance globale d’une page en termes de vitesse de chargement, de réactivité et de stabilité visuelle, trois aspects essentiels pour offrir une expérience fluide aux utilisateurs.

Impact des Core Web Vitals sur le SEO

Les Core Web Vitals ont un effet direct sur le référencement, car Google utilise ces métriques pour évaluer la qualité technique d’un site et son impact sur les utilisateurs. Bien qu’elles ne soient pas le seul facteur de classement, elles jouent un rôle déterminant dans la manière dont Google priorise les pages. Voici comment elles influencent le SEO :

Amélioration du classement

Les sites qui respectent les seuils recommandés pour le LCP, l’INP, et le CLS ont de meilleures chances d’apparaître en haut des résultats de recherche. Un site qui offre une bonne performance technique est perçu comme offrant une meilleure expérience utilisateur, ce que Google privilégie.

Réduction du taux de rebond

Des performances médiocres, telles qu’un temps de chargement long ou des décalages visuels (mauvais score CLS), peuvent inciter les visiteurs à quitter votre site avant qu’il ne soit complètement chargé. Les sites qui optimisent les Core Web Vitals retiennent mieux leurs visiteurs, ce qui réduit le taux de rebond, un autre facteur pris en compte par Google.

Vitesse et expérience mobile

Google utilise un index mobile-first, ce qui signifie que la performance de votre site sur mobile affecte directement son classement. Les Core Web Vitals, notamment le LCP et l’INP, sont particulièrement importants pour les utilisateurs mobiles, qui s’attendent à des sites rapides et réactifs. Un site performant sur mobile est donc mieux classé dans les recherches mobiles.

Impact des Core Web Vitals sur l’expérience utilisateur

Au-delà du SEO, les Core Web Vitals ont un impact direct sur la satisfaction des utilisateurs lorsqu’ils naviguent sur un site. Ces métriques mesurent des aspects critiques de l’expérience utilisateur qui influencent leur engagement, leur perception de la qualité du site, et leur comportement de navigation.

Temps de chargement et satisfaction

Un LCP rapide (inférieur à 2,5 secondes) signifie que les utilisateurs voient rapidement le contenu principal de la page. Des temps de chargement rapides réduisent la frustration et encouragent les utilisateurs à rester plus longtemps sur le site. Un site qui se charge rapidement retient l’attention et augmente la probabilité que les visiteurs explorent davantage de pages.

Réactivité et interaction fluide

L’INP, qui remplace le FID, mesure la réactivité aux interactions utilisateur (clics, défilements, etc.). Un INP inférieur à 200 millisecondes garantit que les interactions se font sans décalage perceptible, offrant ainsi une expérience utilisateur fluide. Les utilisateurs s’attendent à ce que les sites réagissent instantanément à leurs actions, et une mauvaise réactivité peut provoquer de la frustration.

Stabilité visuelle

Le CLS évalue la stabilité visuelle d’une page pendant le chargement. Des éléments qui se déplacent de manière inattendue ou qui perturbent la mise en page peuvent engendrer une mauvaise expérience utilisateur. Par exemple, un bouton qui se déplace juste avant d’être cliqué ou une image qui change la disposition d’une page peut frustrer les utilisateurs, les faisant perdre confiance dans le site. Un CLS inférieur à 0,1 garantit une mise en page stable, réduisant ainsi les risques d’erreurs d’interaction et de frustration.

Amélioration des conversions et des engagements

Des Core Web Vitals optimisés ont un effet direct sur les taux de conversion. Un site rapide et fluide inspire confiance et incite davantage d’utilisateurs à interagir, à remplir des formulaires, à acheter des produits ou à s’inscrire à des services. Les utilisateurs sont plus enclins à rester sur un site où ils se sentent en contrôle et où les actions sont rapides et fluides.

Effet cumulatif sur le SEO et l’expérience utilisateur

Les Core Web Vitals relient directement la performance technique du site et l’expérience utilisateur. Un site performant améliore non seulement ses positions dans les moteurs de recherche, mais aussi l’engagement et la satisfaction des utilisateurs. Ces deux éléments se renforcent mutuellement :

  • Un meilleur SEO attire plus de visiteurs, qui bénéficient ensuite d’une meilleure expérience utilisateur, augmentant ainsi les taux de conversion et de rétention.
  • Une bonne expérience utilisateur encourage les visiteurs à revenir sur le site et à le recommander, ce qui améliore indirectement le SEO grâce à des signaux positifs comme un taux de rebond plus faible et un meilleur engagement.

Résumé des pratiques clés pour maintenir de bonnes performances Core Web Vitals

Maintenir des performances optimales pour les Core Web Vitals est un défi continu, surtout lorsque votre site évolue avec du nouveau contenu et des fonctionnalités supplémentaires. Voici des conseils pratiques pour assurer que votre site continue d’offrir une expérience utilisateur fluide et d’obtenir de bons scores sur les trois métriques principales : Largest Contentful Paint (LCP), Interaction to Next Paint (INP), et Cumulative Layout Shift (CLS).

Optimisez régulièrement les images et vidéos

  • Compressez les images : Utilisez des formats modernes comme WebP ou AVIF pour réduire la taille des images sans sacrifier la qualité. Des images plus légères accélèrent le chargement du contenu visuel, améliorant ainsi le LCP.
  • Activez le lazy loading : Le lazy loading permet de ne charger les images et les vidéos qu’au moment où elles apparaissent dans le champ de vision de l’utilisateur. Cela réduit le temps de chargement initial de la page et améliore le LCP ainsi que le FCP.
  • Redimensionnez les médias : Assurez-vous que vos images et vidéos sont redimensionnées pour s’adapter à la taille réelle des écrans sur lesquels elles s’affichent, afin d’éviter des ressources inutiles.

Utilisez la mise en cache de manière efficace

  • Mise en cache des pages : Configurez un système de mise en cache pour stocker une version statique des pages et réduire le temps de réponse du serveur. Des plugins comme WP Rocket optimisent automatiquement ce processus sur WordPress.
  • Mise en cache des ressources statiques : Activez la mise en cache du navigateur pour les ressources statiques comme les fichiers CSS, JavaScript et les images. Cela permet de réduire le nombre de requêtes réseau lors des visites ultérieures des utilisateurs.

Différez et minifiez JavaScript et CSS

  • Différez le JavaScript non essentiel : Utilisez les attributs async et defer pour différer le chargement des fichiers JavaScript non critiques afin d’améliorer le LCP. Cela permet à la page de se charger plus rapidement sans attendre que tous les scripts soient exécutés.
  • Minification des fichiers CSS et JavaScript : Réduisez la taille de vos fichiers CSS et JavaScript en supprimant les espaces blancs, les commentaires et le code inutile. Des fichiers plus légers se chargent plus rapidement, améliorant ainsi le FCP et le TBT.

Priorisez les ressources critiques

  • Préchargement des ressources : Utilisez la technique du préchargement (<link rel="preload">) pour charger en priorité les ressources critiques comme le CSS et les polices de caractères, afin que le contenu visible se charge plus rapidement. Cela améliore le LCP et réduit les temps de blocage.
  • Optimisez les polices : Utilisez des polices système pour éviter des délais de chargement. Si vous utilisez des polices web personnalisées, assurez-vous de charger ces polices de manière asynchrone pour ne pas bloquer le rendu initial.

Réduisez les redirections

Minimisez les redirections : Chaque redirection crée une requête supplémentaire vers le serveur, ce qui allonge le temps de chargement total de la page. Veillez à ce que vos URL pointent directement vers la destination finale pour éviter ces délais inutiles.

Améliorez la réponse du serveur

  • Choisissez un hébergement performant : Utilisez un hébergeur rapide et optimisé pour WordPress afin de réduire le temps de réponse du serveur. Un bon Time to First Byte (TTFB) contribue à de meilleures performances globales, surtout pour le LCP.
  • Utilisez un CDN (Content Delivery Network) : Un CDN permet de distribuer vos fichiers statiques à partir de serveurs situés dans le monde entier, réduisant ainsi la latence pour les utilisateurs géographiquement éloignés.

Optimisez les bases de données et supprimez les ressources inutiles

  • Nettoyez la base de données : Supprimez les données inutiles, comme les révisions de contenu et les commentaires indésirables, pour que la base de données soit plus légère et que les requêtes soient plus rapides.
  • Désactivez les plugins inutiles : Les plugins non utilisés peuvent ralentir votre site. Désactivez ou supprimez ceux qui ne sont pas essentiels pour alléger les ressources de votre serveur et améliorer les performances globales.

Contrôlez les éléments tiers

  • Limitez l’utilisation de scripts tiers : Les scripts provenant de services tiers (publicités, widgets sociaux, outils d’analyse) peuvent ralentir considérablement votre site. Si possible, réduisez leur utilisation ou chargez-les de manière asynchrone pour éviter qu’ils bloquent le rendu.
  • Optimisez les publicités : Si vous utilisez des publicités sur votre site, réservez un espace fixe dans le design pour éviter que leur chargement ne perturbe la mise en page. Cela aide à maintenir un bon score CLS.

Surveillez régulièrement les performances

  • Utilisez des outils de mesure comme Google PageSpeed Insights et Lighthouse : Testez régulièrement vos pages avec ces outils pour identifier les points d’amélioration et les opportunités d’optimisation.
  • Analysez les Field Data et les Lab Data : Examinez les performances en conditions réelles avec les Field Data, et utilisez les Lab Data pour simuler des scénarios spécifiques et tester les améliorations.

Testez les modifications avant la mise en production

  • Testez chaque mise à jour : Lorsque vous ajoutez des nouvelles fonctionnalités ou modifiez votre site, testez les performances avant de les déployer en production. Cela vous permet d’anticiper et de corriger les éventuels impacts négatifs sur les Core Web Vitals.

Conclusion

Les Core Web Vitals sont devenus des indicateurs clés de la performance et de l’expérience utilisateur d’un site web. Leur optimisation ne doit pas être considérée comme une tâche ponctuelle, mais comme une priorité continue dans la gestion d’un site WordPress. En intégrant ces métriques dans votre stratégie de développement, vous assurez non seulement une meilleure performance en termes de référencement, mais aussi une navigation plus fluide et efficace pour vos utilisateurs.

Adopter une approche proactive pour l’amélioration des Core Web Vitals vous permet de suivre les évolutions des attentes de Google et du comportement des internautes. Cette démarche garantit la pérennité et la compétitivité de votre site dans un environnement en perpétuelle évolution. 

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